Le rapport de l’Igas révèle qu’une majorité des réseaux de soins comptent des centres dentaires dits
L’Igas note également qu’un écart de prix pour une catégorie de produits/prestations ne dit rien de la nature, ni de la qualité du produit acheté. Il ne dit rien, non plus, sur les acheteurs (besoins, capacités financières, comportements…). Ils ne permettent donc pas d’en déduire un impact lié aux réseaux. D’ailleurs, concernant la qualité des soins, pour l’Igas, il est difficile de porter un jugement sur l’impact des réseaux, faute d’indicateur fiable.
En revanche, les réseaux ont un effet globalement favorable sur l’accès aux soins, avec un écart important de reste à charge en faveur des assurés qui y recourent.
L’Igas souhaite que soient mises en place des mesures précises pour mieux connaître ces réseaux et avoir une évaluation juridique approfondie du dispositif conventionnel. Il appelle également à une amélioration de la sécurité des données à caractère personnel et médical collectées par les réseaux de soins, et au développement de référentiels et de guides de bonne pratique…
Pour consulter le rapport :
Chirurgiens-dentistes : avis contrasté sur les réseaux de soins